Check-List des améliorations « On-Site » pour votre SEO

Vous connaissez les différents axes pour booster le référencement naturel de votre site internet et arriver dans les 1ers résultats de Google ? Vous en avez peut-être déjà entendu parler sur les forums ou les blogs, mais sans jamais trop savoir ou comprendre ce que c’était ? Vous voulez en savoir plus ?

J’ai décidé de faire des infographies afin que cela parle au plus grand nombre. Celles-ci détailleront les axes d’améliorations possibles (qui sont au nombre de 4) afin d’optimiser vos pages web.

1. Les mots-clés (MC) ou keywords

Utilisez un champ lexical varié :

Google sait désormais reconnaitre du vrai contenu, quel qu’il soit. Vous devez donc utiliser vos mots clés principaux, mots-clés secondaires mais également le vocabulaire associé. De toute façon, cela ne sera que bénéfique car vous étayerez vos propos et réaliserez un contenu riche pour vos lecteurs.

Adaptez les mots-clés à votre cible :

En d’autres termes, lorsque vous vous adressez à une audience différente de votre profil, n’utilisez pas trop de mots-clés techniques ou si vous le faites, expliquez-les. Par exemple, vous réalisez un tuto sur le changement des aiguilles d’une montre mécanique, cela sera très certainement technique. Mais beaucoup de lecteurs n’y connaitront rien. Expliquez et rendez accessible votre tutoriel sous peine de perdre vos lecteurs.

Utilisez les MC avec parcimonie :

Eh oui, si vous pensiez bombarder votre page de mots-clés et presque sans aucun sens (ou pire en les cachant), vous irez droit dans le mur ! Un ratio de 1 MC tous les 100 mots est recommandé (voir l’article d’optimiz me en bas de page).

Aidez Google à reconnaître vos MC :

Utilisez la balise <strong>. En référencement, il n’y a jamais de règles bien définies mais plutôt des recommandations ou des consensus. La balise <strong> permet de faire ressortir des mots-clés pour vos lecteurs ainsi que pour Google, qui comprendra que ces mots, expressions ou phrases mises en valeur sont importants. Attention, là encore, n’en abusez pas !

2. L’ URL

URL claire et compréhensible :

Dans la mesure du possible, faites des URL propres et compréhensibles pour vos visiteurs. Il est plus agréable pour un visiteur de comprendre sur quelle page il se situe plutôt que d’avoir des URL dynamiques imcompréhensibles.

Mauvais exemple : http://www.amazon.fr/livre-achat-occasion-litterature-roman/b?ie=UTF8&node=301061

En prime, cela sera réellement un plus d’y placer des MC.

Favorisez le tiret (-) et bannissez le caractère underscore (_) :

Pourquoi ? Tout simplement parce que Google ne sépare pas les mots avec un underscore.

Remplacez les lettres accentuées :

Il existe une RFC qui stipule les caractères autorisés dans une URL. Les accents et autres caractères spéciaux ne sont pas recommandés.

Affichez l’extension de vos pages :

Cela permet de finir proprement l’url mais également à vous, développeur web, de faire des recherches d’URL plus simplement en ciblant l’extension.

3. La balise Title

Une balise différente par page, environ 70 caractères, avec les MC principaux :

Cette balise est l’un des critères les plus importants en SEO. De ce fait, il faut la soigner et l’optimiser afin de répondre aux requêtes des internautes et de mieux ressortir dans les SERPs.

Evitez les title de type «Accueil» ou «Bienvenue sur mon site» et faites correspondre votre balise title avec le contenu de votre page.

Pourquoi ma balise title doit faire 70 caractères ? Parce que cela permet de voir en entier votre balise dans les résultats de recherche. Rien ne vous empêche de faire plus de caractères mais votre title sera coupé et donc moins pertinent pour l’internaute.

Utilisez l’écriture CamelCase :

Cette écriture est le fait de mettre en avant les mots importants de vos URL.

Exemple : Check-List-des-Ameliorations-On-Site

Ici le but n’est pas d’améliorer directement votre SEO mais plutôt de faire ressortir vos URL aux yeux de vos lecteurs et donc améliorer le CTR (Taux de clic).

Ajoutez le nom de l’entreprise sur la page d’accueil au début de la balise :

Là encore, ce ne sont que des recommandations et ce n’est pas le critère le plus pertinent pour les moteurs de recherche. Cela permet dans un premier temps de pouvoir être bien reconnu par vos visiteurs et donc de bien gérer votre marque mais surtout, cela évite à Google d’afficher ce qu’il veut. Personnellement j’ai choisi d’afficher le nom de mon entreprise/marque sur la majorité balises title.

Exemple : < title > La Web Fabrik – Création de sites internet à Reims < /title >

4. La description

Cette balise n’est pas spécialement un critère de référencement pour Google. Cependant, c’est un critère pertinent pour les internautes. C’est elle qui lui donnera envie de poursuivre sa requête sur votre site. Il faut donc particulièrement la soigner. Elle doit contenir des mots-clés et doit faire environ 160 caractères (pour qu’elle soit affichée entièrement) et elle doit, bien entendu, être différente sur chaque page. Cependant, depuis quelques années et depuis que le nombre de mots-clés dans une requête augmente, Google propose dans ses snippets des descriptions beaucoup plus grandes. Si votre balise description contient beaucoup de caractères, Le géant américain affichera tout. Sinon il comblera avec du texte disponible sur la page web.

Il peut donc être intéressant de développer vos descriptions afin de correspondre aux recherches des internautes et donc augmenter le CTR.

5. Les titres

Les balises de type Hn ont un rôle majeur : Hiérarchiser le contenu de votre page et permettre à tout le monde de comprendre votre texte. Il faut les utiliser correctement et dans le bon ordre (faites un petit tour sur mon précédent article : 5 erreurs fatales pour votre référencement naturel).

La balise h1:

Elle doit être unique sur chaque page et contenir les mots-clés principaux.

Les balises h2 à h6

Vous pouvez en mettre autant que vous le souhaitez et il est préférable qu’elles contiennent des MC secondaires.

6. Le contenu

Le contenu avec les backlinks sont aujourd’hui les critères principaux pour un bon référencement naturel. Le contenu n’est donc pas à négliger, d’autant que c’est le plus facile à réaliser et à maitriser contrairement à l’obtention de liens de qualité. Il faut le rendre agréable à lire, mélanger les différents types (texte, photos…). Il doit être unique, riche en information et pertinent !

Pensez également à bien renseigner la balise ALT de vos images.

7. Le maillage interne

Qu’est-ce que le maillage interne ?

Le maillage interne est le fait de lier vos pages les unes aux autres par le biais d’un lien (la balise < a href= » > … < /a >).

Sans rentrer dans le détail, cela permet de donner du « Google Juice » à vos pages. En d’autres termes : donner de la notoriété à certaines pages. Il faut pour cela, créer des liens avec une ancre optimisée (texte sur lequel on clique pour aller sur le lien). Et bien faire ressortir nos liens dans le contenu (couleur, soulignement…). Limiter également le nombre de liens par page. Même si Google autorise des milliers de liens par page, il n’est pas pertinent (pour vos lecteurs et Google) de suivre tous les liens et je rajouterai que cela diminue l’importance de vos liens.

J’espère que vous avez apprécié cet article/infographie :).

Sources :

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